Hal Hartley est né le 3 novembre 1959 à Lindenhurst, dans le quartier de Long Island, à New York. Après des études d’arts au Massachusetts College of Art de Boston, il prend des cours de cinéma à New York et devient dès son premier film, 
"The unbelievable truth" (1988) ( une histoire d’amour entre une adolescente et un mécanicien au passé louche) le nouvel espoir du cinéma indépendant new-yorkais.
Essai transformé en 1990 avec Trust Me et avec la sélection cannoise de Simple Men, en 1992.
Suivront Amateur, en 1994, avec Isabelle Huppert en ex-nonne attirée par le porno, puis Flirt (1995) et Henry Fool (1997).
«Hal qui ?» est sou- vent la question qui suit immédiatement l’évocation d’un film du cinéaste américain Hal Hartley.
Pourtant, cet auteur maintenant quinquagénaire, resté en marge de l’industrie cinématographique américaine, a marqué les années 90 et particulièrement l’Europe, par une série de longs et courts-métrages intelligents, drôles et formellement riches, influencés en grande partie par Godard et les auteurs européens en général.
Oscillant constamment entre désir et violence et évoluant souvent dans un monde qui ne veut manifestement pas d’eux, les personnages hartleyiens portent leur marginalité comme un étendard, un possible écho à la position du réalisateur envers l’industrie dominante du septième art.
Le passage à la décennie 2000 fut fatal pour Hartley qui tomba peu à peu dans l’oubli, jusqu’à ne plus être distribué en France depuis une dizaine d’années… C’est l’occasion de le (re)découvrir !
			 "The unbelievable truth" (1988) ( une histoire d’amour entre une adolescente et un mécanicien au passé louche) le nouvel espoir du cinéma indépendant new-yorkais.
Essai transformé en 1990 avec Trust Me et avec la sélection cannoise de Simple Men, en 1992.
Suivront Amateur, en 1994, avec Isabelle Huppert en ex-nonne attirée par le porno, puis Flirt (1995) et Henry Fool (1997).
«Hal qui ?» est sou- vent la question qui suit immédiatement l’évocation d’un film du cinéaste américain Hal Hartley.
Pourtant, cet auteur maintenant quinquagénaire, resté en marge de l’industrie cinématographique américaine, a marqué les années 90 et particulièrement l’Europe, par une série de longs et courts-métrages intelligents, drôles et formellement riches, influencés en grande partie par Godard et les auteurs européens en général.
Oscillant constamment entre désir et violence et évoluant souvent dans un monde qui ne veut manifestement pas d’eux, les personnages hartleyiens portent leur marginalité comme un étendard, un possible écho à la position du réalisateur envers l’industrie dominante du septième art.
Le passage à la décennie 2000 fut fatal pour Hartley qui tomba peu à peu dans l’oubli, jusqu’à ne plus être distribué en France depuis une dizaine d’années… C’est l’occasion de le (re)découvrir !
			 
					 THE UNBELIEVABLE TRUTH 
Hal Hartley Etats-Unis • Comédie dramatique, Romance • 1989 • 1h30
Avec : Adrienne Shelly, Robert John Burke, Christophe Cooke Josh Hutton, après un séjour en prison pour meurtre, retourne dans son village natal.
Il rencontre Audry, toute jeune fille avec laquelle il sympathise. Elle lui propose de travailler pour son père qui tient un garage. Excellent mécanicien, il l’embauche, mais il voit d’un mauvais oeil Josh tomber peu a peu sous le charme de sa fille.
			 Hal Hartley Etats-Unis • Comédie dramatique, Romance • 1989 • 1h30
Avec : Adrienne Shelly, Robert John Burke, Christophe Cooke Josh Hutton, après un séjour en prison pour meurtre, retourne dans son village natal.
Il rencontre Audry, toute jeune fille avec laquelle il sympathise. Elle lui propose de travailler pour son père qui tient un garage. Excellent mécanicien, il l’embauche, mais il voit d’un mauvais oeil Josh tomber peu a peu sous le charme de sa fille.

					 
								 
 
									 
					 
								 
					 
								 
					 
								 
									 
					 
								 
					 
								 
					 
								 
					 
								 



