Le producteur et distributeur du film, Hercule Mucchielli est de Ghisoni, le réalisateur Maurice Cam de Bastia, et Tino Rossi l’Ajaccien interprète une romance sensée se passer sous le ciel de L’Ile D’amour(1943), la Corse.
La collecte et la conservation, la diffusion et la sensibilisation sont un même mouvement qui va de l’extérieur vers l’intérieur, puis de l’intérieur vers l’extérieur. Au niveau régional : la cinémathèque a noué de nombreux partenariats avec des organismes et des associations culturelles, elle assure la diffusion d’une sélection d’œuvres représentatives dans les villes et villages de l’île avec la "cinémathèque itinérante".
Sur le plan national elle collabore avec d’autres Archives : elle est membre fondateur de la FCAFF (La Fédération des Cinémathèques et Archives de Films de France), participe à l’association INEDITS (films amateurs/Mémoire d’Europe), à la COPEAM (Conférence Permanente de l’Audiovisuel Méditerranéen) et est membre de la FIAF (La Fédération Internationale des Archives du Film) au niveau international.
Sur le plan national elle collabore avec d’autres Archives : elle est membre fondateur de la FCAFF (La Fédération des Cinémathèques et Archives de Films de France), participe à l’association INEDITS (films amateurs/Mémoire d’Europe), à la COPEAM (Conférence Permanente de l’Audiovisuel Méditerranéen) et est membre de la FIAF (La Fédération Internationale des Archives du Film) au niveau international.
Corse Terre d’images, Jean Louis Castelli, est photographe de plateau sur le tournage en 1962 de L’Oeil du monocle de Lautner à Bonifacio, sa cité natale.
Dépoussiérés, nettoyés, remis en état pour être montrés sur grand écran les films font l’objet d’un travail de recherche documentaire. Une partie d’entre eux, notamment les films amateurs, sont en cours de transfert à la cinémathèque. En investissant dans du matériel permettant le report sur support vidéo, la Collectivité de Corse a permis d’assurer une visibilité pérenne des œuvres conservées et d’élargir la diffusion du patrimoine.
La consultation des collections s’effectue dans le centre de documentation et sur rendez-vous. L’accès aux documents (consultation, emprunt, numérisation….) est déterminé par l’état et les droits régissant les œuvres.
Dans la volonté de donner au plus grand nombre un accès aux collections, la cinémathèque de Corse a entrepris en 2009 de participer à la mise en réseau de ses collections d’affiches. Plusieurs Cinémathèques collaborent ainsi à la constitution d’une base nationale de l’histoire du cinéma consultable sur internet : Ciné-Ressources .
La consultation des collections s’effectue dans le centre de documentation et sur rendez-vous. L’accès aux documents (consultation, emprunt, numérisation….) est déterminé par l’état et les droits régissant les œuvres.
Dans la volonté de donner au plus grand nombre un accès aux collections, la cinémathèque de Corse a entrepris en 2009 de participer à la mise en réseau de ses collections d’affiches. Plusieurs Cinémathèques collaborent ainsi à la constitution d’une base nationale de l’histoire du cinéma consultable sur internet : Ciné-Ressources .
Cinéma et patrimoine
En 1986 Michel Landi reçoit le césar de l’affiche pour Harem. 10 000 affiches de cinéma occupent une place importante dans les collections parmi les Films, les Press books, les photographie, les Scénarios.
A la fois témoin : d’une époque, d’une société, d’une région…forme d’expression individuelle, œuvre d’Art et industrie… pour cela et plus encore, le cinéma fait partie d’un Patrimoine commun. La cinémathèque a pour mission de collecter et sauvegarder les témoignages cinématographiques du passé et de constituer pour demain une mémoire du présent sous la forme d’un "dépôt légal" des œuvres produites en Corse.
Des films, des affiches, des press-books, des photographies, des dessins, des scénarios, des livres…..constituent la diversité du patrimoine cinématographique sauvegardé. Chaque année, dons, dépôts et achats viennent nourrir les collections. Films dont la Corse est le sujet, films tournés en Corse….ceux réalisés par des Corses, ou sur lesquels des Corses sont intervenus…les débuts du cinéma, l’exploitation et la distribution des films sur l’île… Le Cinéma et la Corse…les liens sont multiples et les limites géographiques, culturelles, historiques qui se dessinent, s’élargissent dès les premières investigations.
Si l’île est un centre, nos regards se portent aussi vers sa périphérie, sur les cinématographies voisines de la Méditerranée où l’Italie a une place privilégiée, vers d’autres îles et d’autres mers… les traces cinématographiques de Napoléon et Colomba mènent ainsi jusqu’aux Amériques… Les territoires à explorer sont vastes, l’ici et l’ailleurs, l’histoire du septième Art et celle des relations de la Corse et du cinéma finissent par se croiser, se rejoindre et se confondre. Le film amateur constitue un cas à part. La démarche de la cinémathèque de Corse, est de constituer, de restituer et transmettre une mémoire régionale dont le film amateur est emblématique. Ce sont des films non professionnels qui nous ont été confiés par leur auteur ou par leur famille. Avec le temps, ces images personnelles et intimes ont acquis une dimension collective. Elles aussi, sont devenues les témoins d’une époque, d’une histoire, d’une région
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Des films, des affiches, des press-books, des photographies, des dessins, des scénarios, des livres…..constituent la diversité du patrimoine cinématographique sauvegardé. Chaque année, dons, dépôts et achats viennent nourrir les collections. Films dont la Corse est le sujet, films tournés en Corse….ceux réalisés par des Corses, ou sur lesquels des Corses sont intervenus…les débuts du cinéma, l’exploitation et la distribution des films sur l’île… Le Cinéma et la Corse…les liens sont multiples et les limites géographiques, culturelles, historiques qui se dessinent, s’élargissent dès les premières investigations.
Si l’île est un centre, nos regards se portent aussi vers sa périphérie, sur les cinématographies voisines de la Méditerranée où l’Italie a une place privilégiée, vers d’autres îles et d’autres mers… les traces cinématographiques de Napoléon et Colomba mènent ainsi jusqu’aux Amériques… Les territoires à explorer sont vastes, l’ici et l’ailleurs, l’histoire du septième Art et celle des relations de la Corse et du cinéma finissent par se croiser, se rejoindre et se confondre. Le film amateur constitue un cas à part. La démarche de la cinémathèque de Corse, est de constituer, de restituer et transmettre une mémoire régionale dont le film amateur est emblématique. Ce sont des films non professionnels qui nous ont été confiés par leur auteur ou par leur famille. Avec le temps, ces images personnelles et intimes ont acquis une dimension collective. Elles aussi, sont devenues les témoins d’une époque, d’une histoire, d’une région
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