Film de John Cassavetes.
Etats-Unis • Comédie dramatique • 1971 • 1h51
Avec : Seymour Cassel, Gena Rowlands, Val Avery.
« Minnie et Moskowitz » est ni plus ni moins un conte fou, échevelé, détraqué, c’est-à-dire à l’image du cinéma de John Cassavetes, indomptable et hors norme.
On y retrouve les sublimes Gena Rowlands et Seymour Cassel dans une sorte de remake de La Belle et la Bête, à cette différence près que la réalité dans laquelle ses deux protagonistes sont plongés est loin d’être des plus féeriques.
L’un, Moskowitz, plouc au physique ingrat et au comportement impulsif, mène une vie modeste et solitaire.
Il gare des voitures dans les parkings des restaurants et traîne le soir dans des cafés où il se bat souvent avec les clients.
L’autre, Minnie, secrétaire dans un musée et maîtresse d’un homme marié, à l’apparence d’une minette sophistiquée, un peu hautaine et complètement paumée.
Ils gardent néanmoins un point commun, leur passion pour Humphrey Bogart.
On y retrouve les sublimes Gena Rowlands et Seymour Cassel dans une sorte de remake de La Belle et la Bête, à cette différence près que la réalité dans laquelle ses deux protagonistes sont plongés est loin d’être des plus féeriques.
L’un, Moskowitz, plouc au physique ingrat et au comportement impulsif, mène une vie modeste et solitaire.
Il gare des voitures dans les parkings des restaurants et traîne le soir dans des cafés où il se bat souvent avec les clients.
L’autre, Minnie, secrétaire dans un musée et maîtresse d’un homme marié, à l’apparence d’une minette sophistiquée, un peu hautaine et complètement paumée.
Ils gardent néanmoins un point commun, leur passion pour Humphrey Bogart.