A l’occasion des 33èmes journées du Patrimoine, la Cinémathèque de Corse propose des images qui interrogent la notion de citoyenneté à travers du cinéma d’une réalisatrice dont le regard se porte à la périphérie de la Cité et de ses habitants, et de l’objectif d’un cinéaste amateur.
Les projections sont suivies d’une visite commentée pour découvrir les missions patrimoniales et par nature, fondamentalement citoyennes, de la Cinémathèque régionale.
Les projections sont suivies d’une visite commentée pour découvrir les missions patrimoniales et par nature, fondamentalement citoyennes, de la Cinémathèque régionale.
Les projections 30min en Salle Abel Gance à la Cinémathèque de Corse.
Images d’archive. Fonds Negroni. 1964. Format d’origine 8mm. couleur. Muet. Coll : CTC/Cinémathèque de Corse.
Une manifestation contre la construction du barrage de Calacuccia filmée par un cinéaste amateur originaire du Niolu.
Le barrage sera mis en eau quatre ans plus tard, en 1968.
Une manifestation contre la construction du barrage de Calacuccia filmée par un cinéaste amateur originaire du Niolu.
Le barrage sera mis en eau quatre ans plus tard, en 1968.
Bastia/Transit de Marie-Jeanne Tomasi.
1997. Couleur. 28 mn. Vidéo-béta et HI8.
Production France 3 Corse
«A la transit» était un lieu prévu dans les années soixante pour accueillir provisoirement ceux qui vivaient dans des conditions précaires. Aujourd’hui, relogés dans les HLM de la cité Aurore, les gitans s'y sont installés , et se sont au fil des ans, sédentarisés.
Ils sont sur le point d’être expulsés.
C’est sans compter sur leur résistance inhérente à leur culture, et ici le mot sonne fort puisque vivant au sein d’une communauté qui revendique la sienne. Il y a aussi les difficultés de la réalisatrice, entre le feu de ceux qui ne veulent pas être filmés et ceux qui refusent de les filmer.
1997. Couleur. 28 mn. Vidéo-béta et HI8.
Production France 3 Corse
«A la transit» était un lieu prévu dans les années soixante pour accueillir provisoirement ceux qui vivaient dans des conditions précaires. Aujourd’hui, relogés dans les HLM de la cité Aurore, les gitans s'y sont installés , et se sont au fil des ans, sédentarisés.
Ils sont sur le point d’être expulsés.
C’est sans compter sur leur résistance inhérente à leur culture, et ici le mot sonne fort puisque vivant au sein d’une communauté qui revendique la sienne. Il y a aussi les difficultés de la réalisatrice, entre le feu de ceux qui ne veulent pas être filmés et ceux qui refusent de les filmer.
